Mauritania vs Veritas
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Dans un combat acharné du bien contre le mal, quel camp choisirez-vous ? Choisissez vite... Le temps presse.
 
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 Cent années plus tard... (P.V. Libre)

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Sylvianna Bowen

Sylvianna Bowen


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MessageSujet: Cent années plus tard... (P.V. Libre)   Cent années plus tard... (P.V. Libre) Icon_minitimeVen 6 Aoû - 23:49

-Ahhhh...! Quel long et chaleureux repos! Depuis combien de temps penses-tu qu'on dort mon cher Neko?
-Hmm... Je ne le sais pas... Ce que je sais, c'est que tu y es allée un peu trop fort cette fois-ci avec ta magie ma chère Sylvianna...
-Peut-être que j'y suis allée un peu trop fort... Je ne reconnais pas du tout cet endroit... Crois-tu que je serais parvenue à avancer le temps au-delà de trois heures?
-C'est fort probable... Nous avons juste à demander aux habitants de Londres... Oh, j'oubliais, on ne sait même pas si nous sommes près de Londres! Nous sommes entourés d'arbres! Où est la civilisation!?!
-Et si nous prenions ce sentier? Cela nous mènerait sûrement à l'intérieur d'une cité!
-Bon, pour une fois que je suis d'accord avec toi... Allons-y.

Voici comment débuta l'histoire de Sylvianna et de Neko dans le futur. Sylvianna, un peu endormie, prit le sentier menant vers un lieu encore inconnu d'elle, suivie de Neko. La forêt semblait inoffensive pour ces deux êtres, mais ce ne fut point le cas. Une aura maléfique recouvrait l'ensemble des arbres, et ce fut après les cinq premières minutes de marche qu'une créature surgit d'entre ces arbres, bloquant le chemin de la jeune dame.

La créature était très grande, et très hideuse selon Sylvia. Sa tête était recouverte de poils longs et graisseux. Son regard, rouge comme le sang qui le recouvrait, fixait avec appétit le petit chat aux côtés de Sylvianna. Sa bouche, entrouverte, laissait paraître des crocs aussi acérés que les lames des preux chevaliers. Son haleine sentait la charogne, tout comme le reste de son corps. Ses pattes étaient, quant à elle, parsemées de griffes crasseuses, recouvertes de sang frais.

La créature, affamée, chargea en direction de Neko. C'est à cet instant que Sylvianna utilisa ses pouvoirs. Elle arrêta le temps, prenant le temps de visualiser chaque détails de la situation. Elle en conclua que défendre Neko serait sa sentence. Ne voyant aucune autre situation, elle prit son chat et partit en direction opposée de la créature, soit vers la ville qui se dessinait au loin.

Malheureusement, Sylvianna négligea certains détails, dont le plus important d'entre tous : elle avait épuisé complètement ses forces il y a de cela peu de temps. Rendue aux côtés de la bête, le temps reprit sa course normale. C'est à ce moment précis que la bête enfourcha Sylvianna de plein fouet dans le ventre. Sylvianna, sentant ses forces la quitter, lança Neko au bout de ses bras et lui dit :

-Cours vers la ville, ils pourront sûrement nous aider...

Au bout de ses forces, Sylvianna perdue connaissance, laissant derrière elle Neko, qui tenta de la sauver en sautant sur la bête. Le résultat fut désastreux : d'un simple coup de patte, il balaya le chat, qui foncit dans un arbre, sombrant lui aussi dans l'inconscience. Les deux êtres vivants étaient à la merci de cette bête...
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Scot Lishlamel

Scot Lishlamel


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MessageSujet: Re: Cent années plus tard... (P.V. Libre)   Cent années plus tard... (P.V. Libre) Icon_minitimeDim 5 Sep - 17:09

Un soleil chaud, des nuages tendre et un vent doux! Rien de pareil pour rendre une journée de chasse aussi parfaite! Non! Il y a mieux encore! Pas de femme, de socièté, d'intrigues, de soldat à diriger, de mariage à appréhender et de courbette devant un roi qui se complait dans la pauvreté de son peuple! Rien de tout ça! Seulement moi, mon arc, ma hache un couteau et une forêt regorgeant de gibier! C'est ça le repos pour moi! Pisser dans les buissons, se gratter le cul quand on veut et traquer une proie du bout d'une flêche! Certaine personnes préfèrent chasser en groupe, sur des cheveaux avec des éperviers. Moi non, j'aime prendre mon temps et respirer un air qui n'est pas encore souiller par l'homme, me sentir seul au monde.

Je me relevais lentement, à l'affut du moindre bruit, de la moindre indication que ma proie m'aurait laisser. Ça faisait bien trois heure que je pistai une sorte de gros ours. D'après l'emprunte de ses pas, il devait bien être deux fois plus gros que de normal. De ce fait, il me semblait aussi être deux fois plus dangeureux que d'ordinaire. D'ailleur, j'avais bien l'intention de le découvrir. L'excitation de la chasse palpitait en moi, à la manière de l'adrénaline chassant toute fatigue et autres idées que celle de ce qui doit être fait.

Lentement, le soleil se cachait derrière la voûte des arbres qui se faisaient de plus en plus épaisse, me laissant dans la calme pénombre. Içi, les oiseaux ne chantent pas, içi, il n'y a pas de place pour eux, seul cerf et les autres quadrupède s'y déplacent. Içi, il est facile de mourir sans se faire retrouver, sinon par les loups. Içi, il est bon de respirer. Mais la vérité est que, quelque centaines de mètre vers le Nord et vous retrouverez ces forêts clairsemé par la hache de l'homme et la grandeur de londre.

-Cours vers la ville, ils pourront sûrement nous aider...

Je figeais littéralement. La dernière chose à laquel je m'attendais, c'était bien à entendre le sons d'une voix humaine, celle d'une femme de toute évidence. Je souhaitais m'être trompé, d'aoir confondu le sons d'une voix à la mélodie des feuilles se bercant à l'hymme du vent. J'avançais prudament dans la direction d'ou, me semblait-il, était parvenu le cri.

Je ne suis plus tellement sûre de ce qui s'est passé durant ce moment, mais je me rappelle bien d'avoir dis: Et merde....! En voyant la créature, qui était aussi la proie que je traquais si l'on se fie à sa taille et à la forme de ses empruntes.
Elle aussi, semble-t-il m'avait aperçu. Ses yeux me faisaient déjà leur avance morelle, celle d'un balais que seul l'un d'entre nous réussirait à terminer. Elle dégagea de sa corne la proie, la femme, qu'elle venait d'encorner. Sans plus attendre, je sortai ma hache de sa gaine, la passant au dessue de mon épaule gauche. Dans un silence plus mortelle encore que ses cornes, la bête me fixa. Je voulais mourire... mais aujourd'hui me semblait un mauvais jour, j'avais envie de proposer à cette immense masse de mucle de reporter mon rendez-vous avec la mort. Mais elle n,y aurait rien compris. Sans plus d'attente, elle chargea, déliant ses muscles puissant dans un élan d'une vitesse que je ne lui soupçonais pas. À la dernière seconde, je sautais sur le côté en balançant ma hache de droite à gauche, espérant ainsi lui faucher une patte. Mais non, le manche me fut arraché des mains pour aller choire quelques pas plus loin. Dans son élan, elle me pila même sur le pied. Le bruit des os se cassant ne se fit pas prier... il s'éleva même de coeur-joie, insistant sur l'importance de la douleur qui se propageait jusque dans ma bouche, en un cri de souffrance. Mais du coup, la bête tribucha et s'aplatit au sol, sa tête rencontra un arbre ou ses cornes se fichèrent très profondément. Je me levais lentement, la douleur m'arrachant un glapissement. Et je m'approchais aussi silencieusement et gracieusement que le peut un homme qui sautille sur une jambe en lâchant des injures entrecoupé de grognement.

Je reprenais ma hache, tandis que la bête, plus furieuse que toujours, se débatait comme un bon diable.Je m'approchais, arrivant à la hauteur de sa tête. Je posai un pied à terre, cherchant un équilibre qui tardait à venir et prenais un élan que la créature ferait vite d'oublier. La tête trancher, on ne se souvient plus très bien.

J'allais m'asseoire au sol quand je me rappelais la présence fugitive de la femme. Je m'approchais d'elle, toujours en train de sautiller de bonheur, je me penchais sur elle et regardait si elle respirait. Merde... elle respirait... comme si j'avais besoin de ça en plus... Mon pied me faisait un mal de chien, mais en plus, je devrais transporter une mourrante...

Son visage était livide, elle ne tiendrait pas très longtemps si le sang continuait à couler comme ça. Je m,agenouillais près d'elle, tout en essayant de trouvé une position pas trop douleureuse. Je tendais les mains au dessue d'elle et commençais à incanter. Et oui... j'ai finalement décidé de me mettre à l'apprentissage de la guérison. C'est en voyant un oiseau, l'aile brisé, que l'envie m'est venu. j'ai étudier jusqu'à ce que je sois capable de le guérire.. il est mort, l'os que je guérissai ayant grandi au point de lui transpercer le coeur, ainsi qu,un poumon... Ça m'a donné envie de continuer à étudier, je voulais y arriver... mais bon... maintenant, je devais tester, pour la première fois ce que j'avais appris. Où va donc le foie?

Malgré moi, je sombrais dans l'inconscience, mon énergie ayant été dévoré par le sort que j'avais utilisé, avant d'être sûre d'avoir réussie.
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