Un endroit pour relaxer. (Pv: Anna Wilson)

La vie est si belle... que l'on regarde les roseaux qui pousse sur le bord d'un étang, ou que l'on écoute le chant mélodieux d'un criquet, tout dans la nature est si paisible, amenant sur l'âme de celui qui sait y voir la, sérénité, émerveillement et confiance. Je trouvais dommage que certaine créature... non, je devrais plutôt en nommer qu'une seul, détruisent la forêt pour en faire des morceaux de bois qui servirait alors de maison... Mais bon, je n'étais pas là pour penser à ces choses, les pieds dans l'eau de la rivière, je regardais dans le silence, du moins le silence de la nature, celle que j'aimais. Je l'avais apporté dans ce coin connut et cotôyer de peu de personnes, sachant pertinament qu'elle stressait un peu trop ses temps-ci, pourquoi, je ne le savais pas...

Je n'avais pas tenté d'influer sur ses sentiments, après tout, même si je changeais ses émotions, ses problêmes seraient touours les même. Je voulais qu'elle se repose. J'enlevais mon chandail, ainsi que mes pantalons, sautait à l'eau, brisant ainsi le silence. Contrairement à ce que l'on peut penser, les ailes des fées ne sont pas aussi fragile que celle d'un insect... en fait, elle sont plus dur que le fer et elle supporte très bien l'eau. Je resortais la tête de l'eau, tout sourire, et la regardait droit dans les yeux, ces même yeux qui m'avait fait rougir d'amour.

-Tu viens me rejoindre?

J'ignorais si les ailes d'un ange avaient les même capacité que les miennes et c'était un excellent moyen de le savoir.

-Si cela ne te dérange pas trop je vais rester là sur ma bûche et je vais réfléchir encore un peu.Je vais faire un retour aux sources, inquiete toi pas trop, si tu entends des paroles,je me parle lorsque je réfléchie,j'oublie souvent qu'il y a des gens.Je risque de passer par tous les stades émotionnel, la rage, la peine on dirait que je ressemble à une femme enceinte mais apres je devrais aller mieux, c'est promis..

Je voulais la croire, mais je me demandais si c'était vrai, allait-elle aller mieux? Je l'espérais, je n'aimais pas trop la voir dans cet état de désolation, si j'ose dire. Malgré tout, je ne pouvais pas m'empêcher de m'amuser dans l'eau, c'était surment l'élément dans lequel je m'amusais le plus. Je pris une grosse bouffé d'air et je plongeais, les yeux grand ouvert dans cette eau l'impide, glacial. Je me servais de mes ailes pour aller plus vite, pour tourner, ou pour arrêter. Je m'amusais à regarder les poissons, éffrayés par la grande masse que j'étais et qui allait aussi vite qu'eux, si ce n'est pas plus vite. Je resortais de sous l'eau. Elle était toujours là, assise sur sa bûche, contrastant incroyablement avec ce qui l'entourait. Comment ne pas se surprendre à la regarder, une ange dans la forêt. La beauté saisissante de la nature ne la rendait pas plus belle, non, la nature n'était que plus belle en sa compagnie.

Après quelque minutes à patauger avec les poissons et à remonter le courant, je ressortais de l'eau. Je m'étendais sous le chaud soleil, attendant que le doux baiser de la chaleur saisonnière me sèche.

Les yeux fermé, malgré moi, heureux comme rarement je l'étais, je sentais les plantes pousser près de moi, enfait, quand je rouvris les yeux, je ne voyais que de verdure, celle-ci dépassant ma tête d'un bon 30 centimètres., avant ne dépassant pas mes oreilles.

Je me levais, la regardais. Elle semblait toujours aussi pensives. Je m'approchais d'elle, l'entourant lentement de mes bras, me serrant contre elle. Je déposais un baiser dans son cou.

-Je t'aime, je te l'avais dit que tu me retrouverais....

Bruit de détonation étouffée, grésillement. Je tourne la tête, arraché à mes rêveries par une désagréable impression de chaleur. Une boule de feu, plus grosse que ma tête, se dirigeais vers nous. Nué lumineuse et dévastatrice, qui brûle calcine et réchauffe vos tissu, dans le seul but de l'éviter, je poussais Anna de l'autre côté de la bûche, et de mon élan, je la rejoignais, tombant sur elle, me servant de la bûche comme d'un bouclier, bien que trop base pour arrêter la flamme meurtirère. Celle-ci me donna l'impression de passer au dessu de nous, mais mes ailes dressé m'envoiyaient un tout autre message, celui de la douleur et des brûlures qui vous arrachent des cris, ces même cris qui sortaient de ma bouche. Je roulais sur le côté, tentant d'éteindre l'incendie qui prenais naissance sur mon corps, mes ailes. Je sautais à l'eau, tentant d'entraîner Anna, toujours couché sur le dos, mais malheureusement, mes doigts paniqués manquaient leur coup, me laissant allé seul dans la froideur rassurante, bersante, des eaux de la rivière. Le courant m'emportant, je m'aggripais à une roche, toujours sous l'eau.

Je me remémorais ses paroles, les dernières que j'avais entendu sortir de ses douces lèvres:"Je t'aime, je te l'avais dit que tu me retrouverais...." S'en était-elle tirer... la revairais-je? S'était-elle fait tuer? Je resortais de l'eau et rejoignais la berge. J'observais mes ailes, leur membranes avaient été légèrement entamé, mais rien qui ne guérirais pas. Je retournais là où nous nous étions fait attaquer, à tire d'aile, après les avoirs testés, et invisible.

La panique... la panique est ce sentiment quand vous savez ne plus rien contrôlez, ou que vous allez perdre le contrôle d'une situation... Je paniquais, j'avais perdu tout contrôle sur ce qui se passait... Que se passait-il au fait, je l'ignorais. Des questions en tout genre tournoyaient dans ma tête." Qui nous avait attaqué? Pour quel raison? Avais-je offencé quelqu'un au point ou il en voulait à ma vie? Q'était-il advenu d'Anna? Était-elle morte?" Il ne fallait pas penser à sa possible mort... des larmes montaient à mes yeux. Une forme imprécise se forma devant moi, j'essuyais mes yeux et évitais l'arbre en panique qui fonçais vers moi quelque secondes plus tôt.

Je regardais tout autour de moi, tentant d'apercevoir les ailes blanches d'Anna. Si jamais il lui était arriver quelque chose... jamais je ne me le pardonnerais... J'accélèrais encore plus. Je passais entre deux arbres, à leur pied, je voyais le corps d'Anna, surmonté de ses grandes ailes blanches. Je descendais en tournoyant autour d'un arbre et ce jusqu'à son pied.Je m'agenouillais près d'elle, encore une fois, je sentais les larmes monté à mes yeux., je les séchais. Son vis son torse monté, puis descendre. Elle était toujours en vie! Je la prenais dans mes bras et la transportais jusqu'à dans l'infirmerie de la ville. Je restais un moment, mais la fatigue m'obligea à retourner dans ma chambre.